“ Tu connais pas ta force. Barre-toi pendant que tu te contrôles encore.” (La Métamorphose des Cloportes, 1965)
Au Bar d’Audiard (1)
Aujourd’hui premier billet de cette série, Au Bar d’Audiard vous propose de stimuler votre mémoire cinématographique en vous livrant une citation…
À vous de trouver le titre du film dont elle est tirée, le réalisateur et l’année de sortie au cinéma.
Michel Audiard (Dessin couleur)
- Passé le périphérique, je suis un citoyen comme n’importe quel arabe.
Bon alors procédons par élimination : ce n’est pas “Les Tontons Flingueurs”, ni “Un Singe en hiver”, ni “Les Barbouzes”, ni “100.000 dollars au soleil”, ni “Le pacha”. Hum je pense savoir, je vérifie et je répondrai à ta question
Comme personne n’a l’air décidé à répondre moi je vais le faire. C’est le film “Est-ce bien raisonnable ?” de Georges Lautner de 1981 avec Gérard Lanvin, Miou-Miou, Michel Galabru…
Celle-là était pas dans le flim mais c’est pour un projet d’adaptation à la culture locale, on ramènera peut-être plus de commentaires en parlant de chose connue dans le coin…
Bon alors procédons par élimination : ce n’est pas “Les Tontons Flingueurs”, ni “Un Singe en hiver”, ni “Les Barbouzes”, ni “100.000 dollars au soleil”, ni “Le pacha”. Hum je pense savoir, je vérifie et je répondrai à ta question
Comme personne n’a l’air décidé à répondre moi je vais le faire. C’est le film “Est-ce bien raisonnable ?” de Georges Lautner de 1981 avec Gérard Lanvin, Miou-Miou, Michel Galabru…
Je jure que je lui ai pas soufflé ! (J’ai le droit, on est plus dimanche…)
GAGNÉ !
J’adore Audiard et puis j’ai fait des vérifications sur internet
Au faite j’ai gagné quoi ?
Pour ne pas être obligé d’interdire ce site au moins de dix-huit ans, je ne répondrai malheureusement pas à cette question… 😉
Une autre petite phrase du film :
- Il y a des grosses sociétés auxquelles on ne s’attaque pas ! Ca foutrait des gens au chomage.
Puis une autre pour la route :
- Avec certaines personnes, ce n’est pas une question de mots, c’est une question de ton.
- D’ailleurs passé la rocade de Chartres, je suis un bouseux comme n’importe quel Beauceron.
Celle-là était pas dans le flim mais c’est pour un projet d’adaptation à la culture locale, on ramènera peut-être plus de commentaires en parlant de chose connue dans le coin…
(A propos de l’ouverture d’un coffre-fort)
— On crois que ça prend cinq minutes et ça prend cinq piges. (G.Lanvin)
D’autres répliques de ce film vous ont marqué ? Envoyez vos suggestions sur ce site : http://www.michelaudiard.com