Bon, maintenant que vous avez pigé le truc, je vais abréger. Alors : Au Bar d’Audiard… bla-bla… mémoire cinématographique… gna-gna… citation…
À… trouver… titre… film… réalisateur… année… sortie… cinéma. Attention… points !
- Des mecs comme moi on en fait plus. Ma femme a perdu beaucoup quand elle est morte.
C’est… vous… jouer !
Tic-tac, Tic-tac, Tic-tac, Tic-tac, Tic-tac…
Personne ?
Des coléoptères comme moi on n’en fait plus… Ma bibliothèque a perdu beaucoup quand elle s’est effondrée…
Bon alors ? La réponse, là !
Kicéki ?
D’habitude incollable sur audiard, la je ne sais pas, je ne trouve pas.
Bravo le coléoptère bien joué.
Bon et Gordon kiffé le mâle un a vexa pendule, y saiche ossi ???
La réponse c’était Le Diable et les dix Commandements, réalisé par Julien Duvivier et sorti en 1962 😉
Résumé du film :
Les 1er et 7e sketchs : Un retraité, recueilli par les religieuses de Saint-Vincent de Paul, jure comme un charretier, au grand effroi des Sœurs qui se signent chaque fois et décident bientôt de le renvoyer. Mais survient un évêque, en visite, qui se trouve être, comme par hasard, l’ami d’enfance du vieillard. Il lui donne l’absolution pour ses jurons, à condition qu’il apprenne les dix commandements. A la fin du film, on retrouve le retraité chez l’évêque qui perd la mémoire à force de boire et n’arrive plus lui-même à se souvenir des dix commandements.
2e sketch : Une femme trompe son mari avec un milliardaire pour se faire offrir un collier de grand prix. Elle place ce collier parmi des bijoux de pacotille, dans une valise qu’elle dépose à la consigne. Elle déclare à son mari avoir trouvé le bulletin et lui demande de retirer l’objet. Le soir, en rentrant chez elle, elle trouve sa meilleure amie, devenue entre temps la maîtresse de son mari, en possession du collier que celui-ci vient de lui offrir.
3e sketch : La sœur d’un séminariste, poussée à se prostituer par un homme du milieu responsable de plusieurs crimes, se tue de désespoir. Son frère renonce à sa vocation pour tenter de faire arrêter le proxénète. Craignant que le tribunal ne lui inflige que quelques mois de prison, il s’arrange pour se faire tuer par le trafiquant, quelques instants avant l’arrivée de la police.
4e sketch : Dieu arrive dans une ferme, fait un faux miracle, puis repart, quand il est arrêté par des infirmiers d’un hôpital psychiatrique partis à sa recherche.
5e sketch : Un jeune homme apprend que sa mère n’est pas la femme de son père, mais une actrice en vogue. Il lui rend visite dans sa loge. Elle veut flirter avec lui, quand il lui révèle qu’il est son fils. Pour ne pas être en reste, elle lui déclare que son père n’est pas son véritable père. Le jeune homme retourne chez ses ” parents ” et leur témoigne plus d’affection encore.
6e sketch : Un caissier (J.-C. Brialy), révoqué par son patron, laisse, avant son départ, cambrioler la banque par un gangster (Louis de Funès). Il finit par reprendre la valise qui contient le butin lorsqu’il est rejoint à nouveau par le gangster. Ils se mettent d’accord pour partager le montant du vol, Hélas, la valise ne contient qu’un saucisson et un litre de gros rouge. Elle a été échangée par erreur dans un café avec celle d’un clochard qui se fait arrêter par la police.
Source : Les fiches du cinéma /michelaudiard.com
Bravo pour ce blog ! Je publie un ouvrage sur Louis de Funès ce mois-ci aux Editions Autres Temps. Merci d’avance de votre visite. Pascal Djemaa, journaliste.