Au Bar d’Audiard (4)

Au Bar d'Audiard

Bien­v­enue au Bar d’Au­di­ard ! Servez-vous c’est gra­tu­it ! Mais n’ou­bliez pas de ren­dre la mon­naie et de pass­er à la caisse en sor­tant, merci…

Avec en prime un indice sur mon état d’e­sprit, rien que pour vous faire plaisir (mais surtout pour vous aider)…

Michel Audiard (Dessin N&B)
Michel Audi­ard (Dessin N&B)

- La psy­cholo­gie, y’en a qu’une : Défourailler le premier.
 — C’est un peu som­maire, mais ça peut être efficace.

Illus­tra­tion : Michel Audi­ard, par Car­i­ca­ture Zone


Auteur/autrice : Lafontanelle

Hylotrupes bajulus les soirs de pleine lune...

12 réflexions sur « Au Bar d’Audiard (4) »

  1. Fer­nand : — C’est quand même mar­rant les évo­lu­tions. Quand je l’ai con­nu, le Mex­i­cain, y recru­tait pas chez tonton.
    Pas­cal : — Vous savez ce que c’est, non ? L’âge, l’éloigne­ment. À la fin de sa vie, il s’é­tait penché sur le reclasse­ment des légionnaires.
    Fer­nand : — Ah ! Si c’est une oeu­vre, alors là, là c’est autre chose.

  2. Et dans la cui­sine au moment du “vit­ri­ol”

    - J’y trou­ve un goût de pomme
    ‑Y en a !
     — Vous avez beau dire, y’a pas seule­ment que de la pomme, y’a aut’­chose. Ça serait pas dès fois de la bet­ter­ave, hein ?
     — Si, y’en a aussi.

  3. - Non mais t’as déjà vu ça ? en pleine paix, y chante et pis crac, un bourre-pif, mais il est com­plète­ment fou ce mec ! Mais moi les dingues j’les soigne, j’m’en vais lui faire une ordon­nance, et une sévère, j’vais lui mon­tr­er qui c’est Raoul. Au 4 coins d’Paris qu’on va l’retrou­ver éparpil­lé par petits bouts façon puz­zle… Moi quand on m’en fait trop j’cor­rec­tionne plus, j’dy­na­mite… j’dis­perse… et j’ventile…

  4. Résumé du film :

    Pour pro­téger la fille et les intérêts d’un de ses amis défunts, un truand “à la retraite” est con­traint de repren­dre du service.

    Ex-truand aujour­d’hui rangé, Fer­nand Naudin dirige une usine de tracteurs et mène une vie pais­i­ble, jusqu’au jour où il reçoit un télé­gramme de Louis, alias “le Mex­i­cain”, un vieil ami qui l’ap­pelle à son chevet. Avant de ren­dre son dernier soupir, Louis charge Fer­nand de met­tre de l’or­dre dans ses affaires et de s’oc­cu­per de Patri­cia, sa fille, qui n’a jamais rien su des coupables activ­ités de son père. Fer­nand se rep­longe ain­si dans un univers qu’il con­naît bien et, assisté du notaire du défunt, Maître Folage, ne tarde pas à se heurter à Raoul et Paul Vol­foni, deux mal­frats qui lorgnent sur les affaires du “Mex­i­cain”…

    Source : Les fich­es du ciné­ma /​michelaudiard.com

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