Tout commence par un coup de téléphone, un lundi. Où j’apprends qu’à la suite d’une carte qui me fut envoyée il y fort longtemps (janvier pour être plus précis), je suis l’heureux destinataire d’un lot de verres de dégustation pour vins de Bourgogne.
L’Aiguillon lu à Vougeot !
En avais-je un coup dans le pif ce matin-là pour accepter, poliment, que ce cadeau me soit remis ce jeudi ?
J’avais pourtant prévenu mon interlocuteur que je n’étais pas grand amateur de vin. Mais devant son insistance de bon commercial, je cédais en bon client.
Au moins avais-je réussi à échapper à la dégustation de bon matin ! Mon esprit poétique me rappelant qu’il est malséant pour un chômeur d’être blindé au rouge à dix heures…
Et voilà comment, ce jour à quinze heures, j’échangeais un lot de verres et une non-dégustation contre le numéro 64 de l’Aiguillon, celui avec la synthèse de l’affaire Morland… Histoire de donner à mon visiteur bourguignon un aperçu des traditions culinaires de notre belle ville de Lucé !
Une rencontre de gastronomes, en somme…
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