Au fond, ce qui est vrai pour une entreprise l’est tout autant pour une administration. Il ne s’agit, dans les deux cas, que d’une collectivité, ici publique et là privée. On pourrait même dire que ce qui se passe dans les administrations se passe aussi dans les entreprises, ici des choix de gestion qui laissent les salariés sur le carreau, là des abus de procédures qui poussent les citoyens dans le caniveau.
Certes personne n’est parfait… Et devant la mauvaise foi ou le cynisme de quelques-uns, ne reste parfois le choix qu’entre rire ou pleurer !
Mais passée la séquence émotion, on se demande encore pourquoi cette déraison. Suivant à l’aveugle une norme, une doctrine, on s’empêche de critiquer sa propre raison, car torts et remords ne valent rien contre la loi du plus fort.
Oscillant entre virtuel et réel, rationnel et irrationnel, la seule ligne qui vaille, à les entendre, est continue et droite même sans direction. Pourtant…
21. Les entreprises devraient se détendre et se prendre un peu moins au sérieux. Elles ont besoin d’un sens de l’humour.
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18. Les entreprises qui ne comprennent pas que leurs marchés sont désormais un réseau d’individus à individus, plus intelligents par conséquence et très impliqués dans un dialogue, passent à côté de leur meilleure chance.
19. Les sociétés peuvent désormais communiquer directement avec leur clientèle. Si elles passent à côté, cela pourrait être leur dernière chance.
20. Les entreprises doivent réaliser que les marchés rient beaucoup. D’elles.
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