En dix-huit ans d’expériences professionnelles, j’ai envoyé trois patrons en procès. Le premier s’était barré avec la caisse en Côte-d’Ivoire, le deuxième me considérait comme son esclave, le troisième ne savait pas rédiger un contrat de travail… C’était en 2005. Un tout les six ans en moyenne, donc.
À ce rythme-là et vu mon projet actuel, je pourrais bien être le prochain à m’envoyer aux Prud’hommes, pour faute lourde… de syntaxe et d’orthographe !
Mais les fins de mois qui commencent le trois, j’en ai ma dose, merci. Alors sachant écrire français, ne sachant faire que ça du matin jusque tard dans la nuit, je ne vais pas vous raconter des salades, j’ai décidé d’en vivre et si possible, d’en vivre bien.
Et pour cela, je vais parler business, de profession libérale, de marché et de zone de chalandise, de rentabilité et de solvabilité, de valeurs et de principes surtout. Vous étiez des visiteurs occasionnels, vous êtes désormais des « clients » ou « usagers » potentiels…
Mais il faut se rendre à l’évidence…
3. Les conversations entre humains sonnent de façon humaine. Elles sont menées sur un ton humain.
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Introduction : Le Manifeste des évidences, ou la fin du train-train des affaires…
1. Les marchés sont des conversations : Le Manifeste des évidences (1)
2. Les marchés sont constitués d’êtres humains : Le Manifeste des évidences (2)