J’avoue, l’envie de tout effacer m’a traversé l’esprit ; à quoi bon écrire s’il y a plus de détracteurs que de lecteurs ? À qui écrire par ailleurs dans ce lot d’automates médisants ? Alors reclus, j’ai lu ; encore et encore, des pages et des pages… Quelques mois durant, j’ai avalé les articles de mon hebdomadaire favori comme un boulimique le ferait d’une table garnie de religieuses et de divorcés…
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