Internet ne fera pas disparaître le papier et j’avoue que cela me réjouit, je sais au moins que mon métier à un avenir.
Continuer la lecture de « Le Manifeste des évidences (6) »
Les Fabulations de Lafontanelle
“ Tu connais pas ta force. Barre-toi pendant que tu te contrôles encore.” (La Métamorphose des Cloportes, 1965)
Internet ne fera pas disparaître le papier et j’avoue que cela me réjouit, je sais au moins que mon métier à un avenir.
Continuer la lecture de « Le Manifeste des évidences (6) »
Je n’ai ni l’influence ni les moyens, et encore moins l’envie d’une multinationale, du moins au niveau financier. Cependant, internet me permet de communiquer, dans les langues que je maitrise et de vive voix si je le souhaite, avec n’importe qui, n’importe où sur le globe.
Continuer la lecture de « Le Manifeste des évidences (5) »
Alors bien sûr, je suis engagé, certains diront infréquentable, incontrôlable, inemployable… Je fais valoir, avec plus ou moins de nuances et de diplomatie suivant les sujets, mon point de vue sur le monde qui m’entoure.
Continuer la lecture de « Le Manifeste des évidences (4) »
En dix-huit ans d’expériences professionnelles, j’ai envoyé trois patrons en procès. Le premier s’était barré avec la caisse en Côte-d’Ivoire, le deuxième me considérait comme son esclave, le troisième ne savait pas rédiger un contrat de travail… C’était en 2005. Un tout les six ans en moyenne, donc.
Continuer la lecture de « Le Manifeste des évidences (3) »
Je suis mon propre patron à cinq cents euros par mois ! C’est le salaire que j’ai prévu, dans mon plan de financement prévisionnel sur trois ans, de prélever sur les bénéfices de mon entreprise la première année. Pas de quoi m’acheter une Rolex, certes. Une rémunération des plus misérables dans la galaxie patronale, qui représente pourtant jusqu’à un an de salaire, par exemple, d’un professeur africain.
Continuer la lecture de « Le Manifeste des évidences (2) »
Cinquante pour cent du seuil de pauvreté par mois, en France et en 2008, c’est environ quatre cents euros. Une misère « de riches », qui représente jusqu’à dix mois de salaire, par exemple, d’un professeur africain.
Continuer la lecture de « Le Manifeste des évidences (1) »
Cela n’aura pas échappé avant tout aux plus assidus des Fabulations de votre serviteur, que ce dernier se lassait depuis longtemps de ramer, tel un soutier de l’économie néolibérale mondialisée, à 50 % du seuil de pauvreté par mois.
Continuer la lecture de « Le Manifeste des évidences, ou la fin du train-train des affaires… »