Woerth-Bettencourt, Balladur et Karachi, mafieux et pourris dans la cour de Sarkozy !

Le Tré­sor Pub­lic rem­bourse 32 mil­lions d’eu­ros à une fraudeuse fis­cale mil­liar­daire au titre du boucli­er fis­cal, pen­dant que valsent d’autres mil­lions dans de som­bres affaires de rétro­com­mis­sions, liées à la vente de sous-marins au Pak­istan et qui auraient per­mis de financer la cam­pagne élec­torale d’É­douard Bal­ladur à la prési­den­tielle de 1995. Et pen­dant ce temps, les affaires continuent…

Con­tin­uer la lec­ture de « Woerth-Bet­ten­court, Bal­ladur et Karachi, mafieux et pour­ris dans la cour de Sarkozy ! »

Manuel d’incivilité à l’usage des nantis et des culs pincés

Je ne sais pas pour vous, mais moi, je vois des éléphants partout ! Et pas que des ros­es, des bleus aussi…

Con­tin­uer la lec­ture de « Manuel d’incivilité à l’usage des nan­tis et des culs pincés »

Lafontanelle n’est pas si molle…

Elle eût été par trop liq­uide, voire franche­ment imbibée, cela n’au­rait eu, en out­re, que peu d’im­por­tance. L’essen­tiel est ailleurs. Dans la mag­nif­i­cence de Nico­las Paul Stéphane Sarközy de Nagy-Boc­sa, sacré Empereur des Français en l’an de grâce 2007, par exemple…

  • La revue pressée d’un con citoyen

Les célébra­tions bona­partistes du mois de mai à peine ter­minées, on s’é­tait dit de droite à gauche, vite, un siège à l’Assem­blée… C’est bien payé ! Et comme à Chartres ou à Paris, on ne risque pas de voir débar­quer la mer, on se fai­sait peur pour de faux au Tsuna­mi. Sera-t-il bleu ? Ou bleu ? Peut-être même bleu ? Au soir du 17 juin, la gauche exul­tait de voir que la brav­i­tude de sa nul­lité lui per­me­t­tait de pro­gress­er tan­dis qu’à l’autre bord, on lar­moy­ait presque de ne pas tous les avoir niqués… Qu’à cela ne tienne ! On débauchera…

Dieu him­self avait prévenu : “Je serai le Prési­dent de tous les Français !” En con­séquence, d’un éclair purifi­ca­teur, le Maître de l’Élysée, tel Zeus au som­met de l’Olympe, envoya aux mor­tels son com­man­de­ment divin. Inau­gu­rant son règne d’une mesure phare, le guide suprême de soix­ante-deux mil­lions de veaux foudroy­ait de sa bon­té sal­va­trice 234 000 priv­ilégiés, autre­fois hon­teuse­ment ponc­tion­nés au nom de la solidarité…

  • Le TEPA CAP !

Com­ment ça, même pas cap’ ? Tu vas voir si on peut pas plumer les pau­vres pour engraiss­er les rich­es ! Pour rester dans la volaille, le coq en chef a pon­du un bel oeuf bap­tisé “Tra­vail, Emploi, Pou­voir d’Achat”. Un pro­jet de loi, donc. Pro­jet TEPA. Que dis-je un cap ? Juste une étape…

Arrivée Gare du Nord, trois min­utes d’ar­rêt ! À la gare de Chris­tine, la Garde ne voit pass­er que des ban­quiers qui “n’ont qu’une envie, ren­tr­er en France…” Surtout ne dites pas à cette bour­geoise pro­mue min­istre de l’É­conomie que cette mesure est un énorme cadeau fis­cal fait aux plus rich­es des rich­es, ça fait trop “lutte des class­es”, trop popu-peu­ple-peo­ple, vul­gaire quoi !

  • De Cour­son tire le pompon !

Si l’on n’est jamais mieux servi que par soi-même, on n’est pareille­ment jamais mieux déçu et/​ou trahi que par les siens. Ain­si le nou­veau cen­triste Charles de Cour­son estime que ce dis­posi­tif crée une iné­gal­ité très forte entre deux types de salariés : ceux qui ont un pat­ri­moine… et les autres !

  • Méhaigner­ie est fort marri !

Pensez donc ! Même le sus-cité pro­pose de met­tre en place un “impôt min­i­mum alter­natif” pour que “les per­son­nes de hauts revenus con­tribuent à la dépense publique.” De là à dire que les richards sont des crevards, par­don, des avares et que le prési­dent de la com­mis­sion des affaires cul­turelles, famil­iales et sociales est… socialiste…

  • 345 patates !

Le boucli­er fis­cal à 60 % voté en 2005, ce n’é­tait pas assez… En con­séquence on abaisse celui-ci à 50 %, et on estime à la louche que la mesure coûtera 345 000 000 €. À quelques patates près parce qu’en fait, per­son­ne n’en sait trop rien… Ah ! Pour­tant avec Dominique, que n’avait-on pas fait pour con­tenter ces pau­vres de rich­es, pris à la gorge. Sans compter qu’il y avait du style, le panache, l’œil vif et le poil bril­lant, le dis­cours sur l’I­rak à l’ONU en 2003, tout ça… Fran­cis me l’avait dit : “C’é­tait mieux avant”…

  • Myard est un connard !

Puisqu’un Deved­jian, ci-devant maire d’Antony (aus­si), peut traiter devant témoins et caméras, une Com­par­i­ni, femme au demeu­rant fort respectable, de salope, vous me per­me­t­trez d’emprunter à mon tour au reg­istre argo­tique pour vous présen­ter, en bon voisin, ce dépité UMP des Yve­lines… Je m’en réfère à mon Robert, cuvée 91, page 355, pour véri­fi­er que ce qual­i­fi­catif peu flat­teur désigne bien un imbé­cile ou un crétin, et je note au pas­sage cette dis­tinc­tion séman­tique qui veut qu’un con­nard soit fam­i­li­er et vul­gaire quand une con­nasse est surtout vul­gaire et péjo­ra­tive. Le Larousse de l’ar­got et du français pop­u­laire pré­cise même que l’ad­jec­tif pour­rait être une altéra­tion de cornard, autrement dit cocu !

Diantre ! Les cocus ! C’est en une de Mar­i­anne cette semaine, mais c’est en page neuf que je décou­vre la pro­fondeur des pen­sées de cet élu du sept-huit : “30 % [d’a­bat­te­ment sur le loge­ment prin­ci­pal, ndlr], c’est une sucette pour les députés. Moi j’ai déposé un amende­ment de sup­pres­sion totale. Mais cela va dans le bon sens. La porte est enfin ouverte grâce à deux dis­pari­tions, celle de Chirac de l’Élysée et celle de l’ab­bé Pierre de ce monde.”

Si pour Jacquot on ne peut qu’ap­prou­ver, en revanche, se réjouir du décès d’Hen­ri, ça c’est vrai­ment très con. Mais Myard n’est pas Audiard…


@ suiv­re…

Quartiers sensibles et emploi : sans commentaire !

Pour un meilleur cadre de vie : réno­va­tion urbaine et retour à l’emploi”

Con­tin­uer la lec­ture de « Quartiers sen­si­bles et emploi : sans commentaire ! »

À la recherche de l’humanisme perdu…

Le mois dernier, encore sous le choc de mon expéri­ence noc­turne, j’écrivais en pleine nuit un arti­cle au vit­ri­ol inti­t­ulé La haine. Je me sou­viens bien avoir dit ce soir-là aux témoins présents que je préférais de loin taper sur mon clavier que de taper, tout court… La haine en l’espèce, vient du sen­ti­ment d’impunité que nous ren­voie le som­met de l’État. Ain­si donc, si en haut lieu tout est per­mis, nul rem­part à la vio­lence ordi­naire. Un prési­dent qui blan­chit plus blanc que blanc, un min­istre de l’Intérieur aux bass­es besognes pour ravir le trône suprême à son Pre­mier et supérieur, des béton­neurs chauves et bedonnants émargeant à 1500 fois le SMIC… par mois ! Si peu de respect ne peut que nuire…

Con­tin­uer la lec­ture de « À la recherche de l’humanisme perdu… »