Après le refus du Traité constitutionnel européen présenté aux Français en mai 2005, on s’attendait à voir nos gouvernants se saisir du problème posé, à savoir l’aspiration légitime des peuples à une Europe plus sociale et politique qu’économique… Mais voilà que le texte revient, quasiment inchangé, sous la forme d’un “mini-traité” qui ne répond à rien mais qui profite toujours aux mêmes.